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En librairie le 1er Janvier 1970
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ISBN:
2-36371-0
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Format:
-
Page:
0p.
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Prix:
0 €
Pierre-Guillaume de Roux
Pierre-Guillaume de Roux
Revue des Deux Mondes
1 - Affaire Richard Millet suite... article de Marin de Viry
Revue des Deux Mondes
2 - Affaire Richard Millet suite... article de Marin de Viry
Revue des Deux Mondes
3 - Affaire Richard Millet suite... article de Marin de Viry
Signature de Jean-François Roseau à la librairie Delamain le 5 février à 19h
Le Point
Pierre-Guillaume de Roux, l'éditeur du diable
Pierre-Guillaume de Roux
Sélection "Hussards' - Essais et récits
Pierre-Guillaume de Roux
Sélection Découverte - Fiction PGDR
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Prix des Impertinents
Richard Millet lauréat du Prix des Impertinents 2011
SGDL
Philippe Caubet lauréat du Prix Thyde-Monnier
Salon du livre de Trouville
Retrouvez Clara Royer, Sophie Jabès et Fabrice Pataut le 11 novembre à Trouville
Livres-Hebdo
Philippe Caubet parmi les finalistes du Prix du premier roman
Magazine littéraire
Du Rocher au grand bain
Ozoir'Elles 2011
Michel Lambert lauréat du Prix Ozoir'Elles 2011
Le Figaro littéraire
Marin de Viry
L'Express
Tontons flingueurs
France Culture
Pierre-Guillaume de Roux présente sa rentrée d'août-septembre 2011
Librairie Mollat
Naissance d'une maison
La cause littéraire
Entretien avec Pierre-Guillaume de Roux
Le Monde des Livres
PGDR : nouvelle maison de littérature générale
Livres Hebdo
Le nouveau départ de Pierre-Guillaume de Roux
Le Figaro Littéraire
Les premiers titres des Editions Pierre-Guillaume de Roux
Signature de Jean-François Roseau à la librairie Gallimard le 5 février à 19h
Signature de Jean-François Roseau à la librairie Gallimard le 5 février à 19h
Signature de Jean-François Roseau à la librairie Delamain le 5 février à 19h
SIGNATURE
AUTOUR DE
JEAN-FRANCOIS ROSEAU
AUTEUR DU PREMIER ROMAN AU PLUS FORT DE LA BATAILLE
CHEZ
DELAMAIN - 155,
rue Saint-Honoré
75001
– Paris
Métro
: Palais Royal
le 5 février à 19 heures
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Richard Millet lauréat du Prix des Impertinents 2011
Le Prix des Impertinents 2011 a été décerné, lundi 21 novembre, à Richard Millet pour son essai Fatigue du sens, publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux.
Le Prix des Impertinents, remis à la brasserie Montparnasse 1900, partenaire du prix, distingue un livre s’inscrivant à contre-courant de la pensée unique.
Le jury, présidé par Jean Sévillia, réunit Christian Authier, Jean Clair, Louis Daufresne, Chantal Delsol, Bruno de Cessole, Paul- François Paoli, Rémi Soulié, François Taillandier et Eric Zemmour.
Prix des Impertinents 2010 : Michèle Tribalat, Les yeux grand fermés. L’immigration en France, Denoël.
Prix des Impertinents 2009 : Claire Brière- Blanchet, Voyage au bout de la Révolution, de Pékin à Sochaux, Fayard.
Fatigue du sens, essai de Richard Millet (Pierre-Guillaume de Roux, 2011)
Philippe Caubet lauréat du Prix Thyde-Monnier
Philippe Caubet a reçu le Prix Thyde-Monnier pour son premier roman Dans un autre temps.
La remise du prix aura lieu le 1er décembre prochain à l'hôtel de Massa à la Société des Gens de Lettres.
Dans un autre temps, roman de Philippe Caubet
(Pierre-Guillaume de Roux, 2011)
Photo Philippe Caubet © Léa Lund
Retrouvez Clara Royer, Sophie Jabès et Fabrice Pataut le 11 novembre à Trouville
Le Salon du Livre de Trouville accueille le 11 novembre trois auteurs des éditions Pierre-Guillaume de Roux : Clara Royer, Sophie Jabès et Fabrice Pataut autour de leurs romans respectifs Csillag, La Duchesse de Singapour et Reconquêtes. Au programme, dédicaces, rencontres et interviews...
Pour en savoir plus : http://www.trouvillesurmer.org/images/catalogue2011def.pdf
Philippe Caubet parmi les finalistes du Prix du premier roman
Quatre premiers romans français et deux étrangers restent en lice pour le prix du Premier roman, qui sera proclamé le 14 novembre.
Aux côtés de Marien Defalvard, toujours en lice pour le prix de Flore, et de Noël Herpe, rayé de la sélection du prix Décembre, les jurés du prix du Premier Roman, tous critiques littéraires, introduisent dans la course deux petites maisons d’édition, les éditions Pierre-Guillaume de Roux et les éditions de Corlevour, avec les romans de Philippe Caubet et de Nicolas Idier.
Rarement dans la course des prix d’automne, les éditions Calmann-Lévy et Belfond sont elles aussi en lice pour deux premiers romans étrangers.
Sélection romans français
Dans un autre temps, Philippe Caubet (Pierre-Guillaume de Roux)
Du temps qu’on existait, Marien Defalvard (Grasset)
Journal en ruines, Noël Herpe (“L’Arbalète” Gallimard)
La ville noire, Nicolas Idier, éd. de Corlevour
Sélection romans étrangers
La femme du Tigre, Téa Obreht (Calmann-Lévy)
Galveston, Nic Pizzolatto (Belfond)
Du Rocher au grand bain
En ces temps de concentration capitaliste, il est rassurant d’assister à la floraison de maisons d’édition indépendantes. C’est le cas de celle de Pierre-Guillaume de Roux, créée en avril, qui porte son nom. Bercé de littérature dès son enfance par son paie - l'éditeur et écrivain Dominique de Roux -, il accueillit à sa descente d'avion Ezra Pound, dont la photo orne aujourd'hui les murs de son bureau tapisse de figures tutélaires. Parmi elles, Vladimir Dimitrijevic fondateur des éditions de L'Age d’Homme, récemment disparu, assura le rôle d’un second père sur les sentiers de la profession. « On ne peut plus aujourd'hui assurer un vrai travail de découverte d'auteurs au sein des grands groupes. Le métier d'éditeur exige du temps pour imposer un écrivain avec plusieurs livres », dit-il. En vingt-six ans de carrière Pierre Guillaume de Roux a su tracer son propre sillon après un apprentissage chez Christian Bourgois, il est entre à la Table ronde en 1984. II y a révélé le premier roman de Linda Lê, Un si tendre vampire et Pèlerin parmi les ombres de l'écrivain triestin Boris Pahor Passe ensuite chez Critérion, Julliard, Bartillat. Il a cofondé les éditions des Syrtes avant de rejoindre les éditions du Rocher. L’homme est cultivé, sérieux, lettré et volontiers taquin.
Sa maison couvre un champ littéraire large : fiction, essais, biographies et des romans italiens et d'Europe centrale, des littératures peu connues qu'il défriche et souhaite faire découvrir au public francais. L'identité visuelle sobre de ses livres est marquée par le coup de pinceau qui zèbre les couvertures à fond blanc. C'est avec culot qu’il ouvrit son catalogue par le premier roman d'une jeune inconnue Csillag, de Clara Rover, salué par la critique. Risque peut-être compensé par la publication de I essai de Richard Millet : Fatigue du sens. Editer, peser, équilibrer, cela fait partie du jeu. Cet automne il sort en plein centenaire de la naissance de Cioran un volume de contributions réunies par Yun Sun Limet et Pierre-Emmanuel Dauzat, riche de correspondances et de témoignages inédits ainsi qu'un roman énigmatique, Dans un autre temps de Philippe Caubet. L’année 2012 s’annonce sous l'égide de « la parution exceptionnelle en francais des Escaliers de Strudhlof de Heimito von Doderer l'auteur des Démons, traduits par Raymond Voyat l'un des rares à posséder les particularismes du dialecte viennois » Les Strategies du détachement ne constituent pas seulement le titre d'un roman d'Ariel Denis, publié par PGDR, mais résument surtout la ligne de conduite de cet éditeur.
OLIVIER CARIGUEL
Le Magazine littéraire de novembre 2011
Vient de paraître aux éditions Pierre-Guillaume de Roux
> Cioran et ses contemporains, dir. Yun Sun Limet et Pierre-Emmanuel
Dauzat 352 p, 26.5 £
> Darts un autre temps, Philippe Caubet 272 p, 18.5 £
Michel Lambert lauréat du Prix Ozoir'Elles 2011
Le Prix de la Nouvelle d'Ozoir'Elles 2011 a été décerné à Michel Lambert pour son recueil Dieu s'amuse paru aux éditions Pierre-Guillaume de Roux le 7 avril 2011.
Rendez-vous au Salon du Livre d’Ozoir la Ferrière le 19 novembre 2011 pour rencontrer le lauréat et les membres du Jury (Simonetta Greggio, présidente, Victoria Bedos, Astrid Eliard, Véronique Genest, Macha Méril, Colombe Schneck, Régine Deforges, marraine d’honneur après avoir présidé les trois premières éditions et les Ozoiriennes.)
Marin de Viry
Marin de Viry critique littéraire et enseignant à Sciences Po prend Frederic Beigbeder et Michel Houellebecq pour héros de son premier roman. Le manuscrit vient d'être remis à l'éditeur Pierre-Guillaume de Roux
qui le publiera en janvier. Mémoires d'un snobé - dont l'action se situe
pour l'essentiel entre le Montana, le Flore et la place de l'Odéon - croque
avec style le milieu littéraire parisien.
Mémoires d'un sobé, premier roman de Marin de Viry
à paraître le 5 janvier 2012 chez Pierre-Guillaume de Roux.
Tontons flingueurs
Roland Dumas et Jacques Vergès publieront début octobre aux éditions Pierre-Guillaume de Roux un pamphlet intitulé Sarkozy sous BHL.
Les deuxavocats iconoclastes y dresseront un portrait à charge de l'hôte de l'Elysée, accusé de défendre les bombardements sur les populations civiles de Libye, sous l'influence néfaste de Bernard-Henri Lévy. Premières lignes de ce brûlot au lance-flammes : « Président de la République pour un an encore, ce sont deux résistants qui vous écrivent pour vous dire que vous trahissez la France..."
JÉRÔME DUPUIS
Sarkozy sous BHL, pamphlet de Roland Dumas et Jacques Vergès
à paraître le 6 octobre 2011 (Pierre-Guillaume de Roux)
Pierre-Guillaume de Roux présente sa rentrée d'août-septembre 2011
Ecoutez Pierre-Guillaume de Roux répondre aux questions de Mathieu Le Goff dans l'émission du 19 août 2011 de Matins d'été à 7h15 et présenter ses trois romans de la rentrée :
Mal dedans, roman de Catherine Soullard (en librairie le 18 août 2011)
Reconquêtes, roman de Fabrice Pataut (en librairie le 18 août 2011)
Dans un autre temps, roman de Philippe Caubet ( en librairie le 1er septembre 2011)
Naissance d'une maison
Voilà un nom que les amateurs de littérature connaissent, ceux du moins qui vont au-delà des couvertures et des noms d’édition, et qu’ignorent complètement les autres, un nom d’éditeur jusqu’alors dissimulé derrière des collections et des auteurs, un nom qui s’affirme aujourd’hui et s’affiche sur la couverture bicolore de ses nouveautés qui nous parviennent en nombre : Pierre-Guillaume de Roux (1) qu’on a apprécié à la Table Ronde, chez Critérion, Julliard, Bartillat, au Rocher, aux éditions des Syrtes se lance dans le grand bain. PGDR : de grandes initiales auxquelles nous souhaitons un bel avenir en une période où créer sa maison est particulièrement culotté. Premier roman qui nous arrive, Csillag de Clara Royer, un premier texte d’une jeune femme de 29 ans. L’accompagne Dieu s’amuse, recueil de nouvelles de Michel Lambert, auteur belge confirmé qu’on avait connu chez De Fallois. Un premier texte, des nouvelles…c’est dire si l’éditeur tout neuf n’a peur de rien. Et peut-être serons-nous appelés à en reparler assez vite. Longue vie donc à ce nouveau-né !
(1) Il est le fils de Dominique de Roux, créateur des éditions Bourgois (chez qui son fils a commencé d’ailleurs) et auteur important des années 70 que l’on redécouvre trop irrégulièrement.
http://blogs.mollat.com/litterature/2011/04/
Entretien avec Pierre-Guillaume de Roux
Certes, vous êtes depuis des années un professionnel de l’édition. Mais ne faut-il pas être fou pour créer votre propre maison d’édition dans une telle période d’interrogation civilisationnelle grave et économiquement problématique ?
Je pense que c’est paradoxalement dans ces périodes de grandes difficultés qui marquent le « grand tournant civilisationnel » dont vous parlez, qu’une aventure comme celle-là a des chances de réussir. Alors que les grandes maisons d’édition sont de plus en plus conditionnées par des obligations de résultat immédiat, pressurées par des contrôleurs de gestion qui exigent d’elles une rentabilité à court terme, les petites structures aux frais fixes réduits disposent, au contraire, de toute la légèreté requise pour agir pleinement. Parce qu’elles conservent une taille humaine, parce qu’elles cultivent un état d’esprit proche de l’auteur, elles sont réellement en mesure de mener à bien ce qui constitue le cœur de métier de l’éditeur : ce travail de découverte, de révélation et d’accompagnement qui échappe de plus en plus aux grandes maisons. C’est notre chance et c’est dans cette perspective que je voudrais m’inscrire, sachant que la mission de l’éditeur consiste d’abord – comme on a trop tendance à l’oublier aujourd’hui – à prendre le risque de la découverte et de la persévérance.
A une époque où l’on nous rabâche les oreilles avec la prétendue supériorité de la littérature anglo-saxone, ceci signifie parfois d’aller tout simplement fouiller le fond de la Bretagne pour y dénicher une grande voix. Il y a décidément en France aujourd’hui une étrange façon de dévaluer tout ce qui vient d’elle.
Quelle est votre ligne éditoriale ? Cela existe-t-il d’ailleurs ?
J’ignore s’il y a au départ une ligne éditoriale aussi définie que cela. Une chose est sûre, un catalogue cohérent fait apparaître des passerelles entre les livres. Il y a des thématiques, des motifs qui circulent et créent une brise, un courant et parfois même un réel débat. De Csillag de Clara Royer à Fatigue du sens de Richard Millet, c’est le débat sur l’identité qui est ouvert, c’est l’identité qui s’effondre. Stratégies du détachement évoque l’exil sous une forme très moderne : c’est un roman-séquence passant en revue notre mythologie moderne et même urbaine, organisant notre addiction contemporaine aux films et à la musique en chaos bien tempéré, où la nostalgie d’être éternel appelle tous les « meddleys ». Mais cet aspect très fragmenté de la littérature, c’est déjà du Céline et précisément nous en parlons à travers la grande biographie critique de Philippe Alméras. Dieu s’amuse, les nouvelles de Michel Lambert surfent sur l’ultra-moderne solitude et tentent une traversée, un petit voyage au bout de la nuit pour s’ouvrir sur l’espérance. Même renvoi à l’aube de l’humanité chez Clara Royer qui fait des enfants des héros inattendus en pleine (période de) règlements de compte de la Résistance. La Duchesse de Singapour de Sophie Jabès parle plus que jamais d’exil avec ces femmes d’expatriés désemparées, livrées à elles-mêmes : le voyage ici est un gouffre, le mur le plus haut en dépit de ses tentations. Le Prince de la Mélancolie de Jeanne Champion qui évoque la captivité de Charles d’Orléans cultive l’exil au contraire du côté des hommes, des frères et des rois.
Vos premiers auteurs pourquoi ?
Je viens d’y répondre d’une certaine manière. Il est vrai qu’on les reconnaît. Clara Royer signe un premier roman très fort, très articulé, où l’extrême humanité se dissimule sous la rudesse et la candeur. Sophie Jabès tient les rênes d’une féminité merveilleuse, ombrageuse et changeante à souhait sans rien occulter d’un vide très contemporain. Véronique Sales est un maître de la glaciation et du désamour à la lisière du nihilisme, saisi dans une chronique où se succèdent les générations emportées par la grande guerre. Jeanne Champion prête à l’enfermement une intensité vertigineuse comme toujours. Michel Lambert joue des non-dits et des failles avec une subtilité infinie, capturant les moments de basculement à la Simenon. Ariel Denis est une sorte de cavalier venu non pas du Far West mais du merveilleux : il est tour à tour allègre, mélancolique, prodigieusement drôle et… il a le sens de la polyphonie et du paysage en 3D. Je ne vous présente pas Richard Millet qui est pour moi l’un des plus grands écrivains de ce temps.
Un bon livre, c’est quoi ?
C’est un livre dont on se souvient et dont on garde, inscrites en soi-même, des images qui reviennent vous hanter pour mieux vous faire comprendre qui vous êtes et appréhender le réel encore et toujours. C’est ce qu’expliquait très bien dans un de ses essais sur L’Art de la fiction le merveilleux et grand Robert Louis Stevenson.
Peut-on être éditeur de père en fils et auteur de père en fils ?
Nous fêtons les cent ans de la maison Gallimard. N’est-ce pas la meilleure réponse à votre question ? Voilà le parfait exemple d’une maison qui, de père en fils depuis cent ans, est devenue un monument national et quel monument ! C’est, je crois, sans équivalent dans le monde.
Si dans un jeu absurde, il fallait caractériser votre maison, quel adjectif choisir ?
Audacieuse.
Propos recueillis par Jean-Luc Maxence
(interview disponible sur www.lacauselitteraire.fr)
PGDR : nouvelle maison de littérature générale
Pierre-Guillaume de Roux lance sa propre maison, PGDR Editions.
Agé de 48 ans, l'ancien directeur éditorial du Rocher avait commence sa carrière à la Table ronde, avant de passer par Julhard, Bartillat, puis de cofonder les Editions des Syrtes II se jette de nouveau à l'eau avec une maison de littérature générale comptant cinq grands axes littérature française, étrangère, essais, documents et biographies
Le 7 avril, paraissent Csillag, un premier roman français de Clara Royer, et Dieu s'amuse, un recueil de nouvelles de Michel Lambert. Ils seront suivis par trois autres romans Stratégies du détachement, d'Anel Denis, La Duchesse de Singapour de Sophie Jabès et Le Prince de la mélancolie de Jeanne Champion. www.pgderoux fr
Le nouveau départ de Pierre-Guillaume de Roux
Ils Les textes sont prêts, les couvertures choisies et les livres bientôt en librairie. Le 7 avril, Pierre-Guillaume de Roux, ancien directeur éditorial du Rocher, lance les premiers titres de la maison de littérature générale qu''il a créée sous son nom. Place à la littérature française d'abord, avec Csillag de Clara Royer, La duchesse de Singapour de Sophie Jabès (7 avril), Stratégies du détachement d'Ariel Denis, Dieu s'amuse de Michel Lambert et Le prince de la mélancolie de Jeanne Champion. Le 6 mai, Pierre-Guillaume de Roux publie un essai virulent de Richard Millet sur la France d'aujourd'hui, Fatigue du sens, un roman de Véronique Sales, Les Islandais, et une nouvelle version enrichie de la biographie de Céline entre haines et passion de Philippe Aimeras (Robert Laffont, 1994). Il réédite aussi en juin la biographie de Dashiell Hammett par Richard Layman, parue en 1981 chez Fayard. Sollicité par l'éditeur et par le traducteur Philippe Mikriammos, l'auteur a largement remanié son ouvrage, faisant de l'édition française la version de référence, encore inédite aux Etats-Unis. La littérature étrangère suivra en 2012, avec Heimito von Doderer (Les escaliers du Strudhof, accompagné d'un essai sur l'écrivain autrichien) et l'Italien Boris Biancheri (Le 5e exil). Au total, 15 titres sont prévus en 2011, et une vingtaine à partir de 2012. Pierre-Guillaume de Roux qui travaille avec Anne-Sophie Yoo, a confié sa diffusion-distribution au CDE-Sodis. Les couvertures sont signées Karen Petrossian, le créateur du graphisme de la collection de poche « Motifs ».
CATHERINE ANDREUCCI
Les premiers titres des Editions Pierre-Guillaume de Roux
ll a officié dans les plus grandes maisons d'édition. Désormais, il lance sa propre structure : les premiers titres des Éditions Pierre-Guillaume de Roux paraîtront le mois prochain. L'éditeur frappe fort. Ainsi, le 6 m'ai, publie-t-il un essai pamphlétaire de Richard Millet, Fatigue du sens, et une biographie de Céline signée Philippe Aimeras. A la mi-avril, il fera paraitre un roman de Jeanne Champion, Le Prince de la mélancolie.
Signature de Jean-François Roseau à la librairie Gallimard le 5 février à 19h
SIGNATURE
AUTOUR DE
JEAN-FRANCOIS ROSEAU
AUTEUR DU PREMIER ROMAN AU PLUS FORT DE LA BATAILLE
CHEZ
DELAMAIN - 155,
rue Saint-Honoré
75001
– Paris
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le 5 février à 19 heures
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JEAN-FRANCOIS ROSEAU
AUTEUR DU PREMIER ROMAN AU PLUS FORT DE LA BATAILLE
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